La photogrammétrie comme support du relevé archéologique.
Mise en place d’une méthode d’analyse de blocs architecturaux sculptés.
Julie Adrian (2012-2013)
Les
progrès techniques de ces dernières années, en matière de relevé
architectural, nous amènent à nous interroger sur leur contribution
au niveau de l'étude archéologique du bâti. Plus spécifiquement,
le but de ce mémoire consiste à évaluer l'apport de la
documentation photogrammétrique dans le cadre de l'acquisition de
blocs sculptés issus de l'architecture nabatéenne, blocs dont le relevé manuel est particulièrement
complexe. D’autre part, l’empreinte 3D issue de la
photogrammétrie est une source considérable de données. On peut
ainsi se demander de quelle manière en extraire des informations pertinentes en
vue de l’analyse d’un objet architectural. Ce travail aborde Ã
la fois le contexte d’une mission archéologique (sur le site de Pétra en Jordanie), ainsi que les
méthodes de relevé actuelles, qu’elles soient manuelles ou
numériques. Une méthode d’analyse des éléments architecturaux
peut dès lors être proposée et expérimentée sur différents cas
d’étude.
Ce travail de fin d'études a été réalisé dans le cadre d'une collaboration entre le laboratoire AlICe et le
CRéA Patrimoine de la faculté de philosophie et lettres de l'ULB.
Promoteur(s) : David Lo Buglio




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